La redscale et moi ne sommes pas amies... Ci dessus, avec le Diana F+.

J'ai terminé en vitesse deux pellicules lomography, une Redscale 50-200 iso en format 120 et une color négative 800 Iso en 135. 2ième essais pour la redscale et second developpement pour mes deux diana, je reste assez déçue de l'aventure sur le Diana en format 120 puisque sur 16 photos j'en tire toujours pas plus de 6 avec un semblant de motif dessus.

J'ai eu beau utiliser cette pellicule redscale 200Iso par grand soleil et parfois avec flash, les résultats sont encore bien trop sombres pour êtres utilisés avec des camera toy en plastiques que sont mes deux Diana, le F+ et le Mini.

Toute fois, les photos du Diana Mini auraient pu êtres plus réussies si ma pellicule ne s'était pas bloquée et cassée dans l'appareil. J'ai du ouvrir à plusieurs reprises le dos de la camera et bien qu'en ayant été plongée dans le noir dans ma salle de bain, éclairée d'une led rouge la majeure partie du temps où j'ouvrais le boitier, le jour est tout de même rentré à un moment où j'ai eu besoin d'effectuer une manipulation en ayant plongée l'appareil au fond de mon sac pour prendre le plus de précautions possibles.

Nota bene que le flash que j'ai utilisé à de nombreuses reprises pour terminer en catastrophe le reste de la pellicule avant destruction complète de ma camera, n'a servit à rien, je n'y vois aucune difference avec les sans flash. Toute fois c'est une bonne note que je donne au site Lomography.com qui m'a sans aucun problème renvoyé un mini diana avec son flash quand j'ai signalé avoir eu un problème avec mon second mini diana (rappelons que le 1er m'avait été volé).

Sur le résultat, je me questionne toute fois sur comment une photo prise dernièrement a pu se retrouver superposée à une des premières prises... La magie du Diana surement.

Retour d'expérience en images avec le diana mini :