Une semaine à Prague

Une semaine à Prague mère-fille, une première ! Ce fût une belle semaine, et c'est à la fois bien trop court pour tout visiter, et aussi bien trop long, quand on sait l'accueil déplorable que les praguois réservent aux "touristes" ! Une bonne semaine de vacances, des bons moments, une ville magnifique, mais...
Un départ matinal à 6h du matin pour l'avion, où j'ai été malade, déjà enrhumée depuis deux jours, je n'avais pas dormi de la nuit et j'appréhendais la douleur aux sinus et aux oreilles avec l'avion, le stress faisant, j'ai eu l'estomac tout retourné durant 2h30 de vol. Quand j'ai enfin eu les pieds sur terre, j'ai pu me sentir un peu mieux. Je dis un peu car la ville n'est pas des plus accueillantes ni des plus agréables.
Que ce soit à l’hôtel ou dans les restaurants, la majorité des commerçants font vraiment tout pour vous arnaquer et vous faire payer des suppléments injustifiés, comme vous ajouter des taxes magiques à 0% mais qui à la fin font un supplément d'une dizaines d'euros. Bref, il faut non seulement savoir se débrouiller en anglais, ce qui est mon cas, mais aussi savoir argumenter et tenir une bonne conversation en anglais, ce qui n'est pas mon cas. Quand aux restaurants, c'est pas loin si je n'ai pas eu le couteau sous la gorge pour être forcée de payer un pourboire. Enfin, pourboire ou "service non inclus" comme ils disent, allez vraiment comprendre, le résultat reste le même, car l'art et la manière des tchèques pour communiquer avec la majorité des personnes qui les font vivre (les touristes) reste vraiment à revoir. De plus, les tchèques n'hésitent pas à se moquer de vous, à être arrogant et vous bousculer dans la rue. Donc vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout aimé les habitants de cette ville, qui sont surement marqués par le communisme, mais qui, enfin soulagés d'en être sortis, se comportent bel et bien comme des voleurs et n'ont absolument rien changé à la mentalité qui leur était imposée, 30 ans après. A ce propos, j'ai pu lire sur le net que leur expression favorite, pourtant datée du communisme est "qui ne vole pas au travail, vole sa famille". Voilà, vous êtes prévenus, mais en même temps cela fait partit du jeu non ? 
Une ville donc, où les morts (et l'histoire dont l'architecture découle) est plus accueillante et plus intéressante que le reste.  Heureusement, cela n'a pas suffit à me faire passer de mauvaises vacances, au contraire, j'ai préféré en rire !
Voici donc pour commencer quelques photos prises le premier jour.