Dans le prolongement de Phira, bien qu’il soit difficile de délimiter à quel endroit les deux villes se rejoignent, la ville est semblable à Phira, peut être un poil plus charmante mais ses ensembles de maisons blanches sont elles aussi toutes faites de boutiques, d’hotels, de restaurants. Heureusement, la vue et là pour s’échapper de l’ambiance « balnéaire » et j’imagine qu’avec le virus Covid, je peux m’estimer heureuse d’être entourée de beaucoup moins de touristes que d’ordinaires, bien qu’ils soient très nombreux… Il ne faut alors pas hésiter à s’éloigner de la caldéra, traverser la route et se rendre de l’autre côté, qui offre une vue sur l’arrière de l’ile et d’autres rues largement moins touristiques, avec des habitations beaucoup plus typiques et parfois colorées.