Pas loin de Toulouse ce festival dure quelques mois en hiver et propose un spectacle de lanternes géantes en tout genre, à observer à la tombée de la nuit. Au premier abord on est enchanté dans un tel environnement, il y en a vraiment partout. Mais très vite, la ballade devient un parcours du combatant pour 3 raisons :

  • Le parc est vraiment immense. Quand vous pensez en avoir enfin terminé, il reste encore le double à faire, en contre bas.
  • Le monde. Même en semaine, à quelques jours de la fin de cette exposition, si la première demi-heure vous pouvez vous sentir plutôt tranquille, très vite, c’est à l’étroit qu’on avance entre les chemins et qu’on accède aux diverses lanternes.
  • Le nombre de scènes : Trop, c’est trop. Oui c’est beau, mais il y en a tellement qu’à un moment, on ne sait plus où regarder. Je me suis lassée avant la fin : Le froid, le monde, ou je ne sais quoi d’autre, mais bien que j’ai adoré l’endroit, je ne me suis pas sentie la force de continuer ma difficile avancée au milieu de tant de monde.