Après une soirée mouvementée par la tempête et l’inondation de la tente, c’est la journée où nous visitons Venise où nous arrivons à 10h et repartons à 16h. Sans prendre de navette, la ville fait payer un parking à 26€. La voiture mise au parking, c’est partit pour marcher des heure et des heures, et surtout tourner en rond. La matinée rencontre déjà du monde, c’est bien pire passé 14h. En matinée nous buvons un café et le midi venu, une pizza pour notre déjeuner, et une glace en dessert. J’admire certaines vitrines, dont les boutiques de papeterie qui vendent des sets et des cahiers avec de belles plumes pour écrire. On trouve également les nombreuses boutiques du masque Venizien, d’autres pour le verre Murrano ou encore Pinocchio. Toutes sont bien évidemment des attrapes touristes. Certaines se démarquent en proposant des lithogravures et autres peintures. En soirée, nous prenons la route de la Croatie. Ici aussi le trajet est rapidement fait. Nous arrivons à Groznjan sans aucune difficulté. Le village est ancien et très charmant, pourtant, je ne m’y sens pas à l’aise. A notre arrivée, l’hôtel réservé nous annonce qu’il y a eu un soucis de réservation avec booking. Heureusement, l’accueil des croates est agréable, ils s’arrangent pour nous trouver une solution de remplacement et nous – nous retrouvons dans un appartement – bel appartement aux meubles anciens – bien que finalement assez glauque, puisque celui-ci est très chargé en bibelot ainsi que d’une ambiance pesante qui me laisse penser que les lieux sont habités par des esprits. Y croire ou non n’est pas la question, puisque je finirai la soirée en étant malade. L’odeur et l’atmosphère me font penser aux vieilles demeures que l’on trouve dans le Périgord et me rappelle les histoires fantomatiques à faire peur de mon enfance.